Le blog de Clipping

Supporter ou travailler ?

C'est le jour J du coup d'envoi de la Coupe du Monde de football !  

En l'absence d'une TV à l'agence, nous prions pour que notre connexion web tienne le choc afin de suivre quelques uns des matchs et ne pas avoir à prétexter une réunion de dernière minute pour en fait, aller au troquet du coin et mater, une bière à la main, les performances des Bleus. 

D'après les résultats d'une étude réalisée, en ligne, par LogMeIn, 47% des entreprises s'attendent à ce que la Coupe du Monde affecte la productivité de leurs employés, tandis que 33% estiment que l'absentéisme augmentera de 10% et plus...  

Cette étude réalisée depuis le 15 mai, auprès des utilisateurs de LogMeIn, au Royaume-Uni, en Espagne, aux Pays-Bas et en France (panel de 200 répondants, dont 75 français), nous dévoile quelques chiffres éloquents :  

43% des employés prévoient de ne pas être au bureau, afin de regarder les matchs qui auront lieu durant les heures de travail.  

Du coté des petites entreprises, la fièvre du ballon impacterait significativement le business 

47% s'attendent à ce que la compétition affecte la productivités de leurs employés

33% pensent que l'absentéisme va augmenter de 10%  

Mais pour faire face à cela, 53% avouent qu'elles n'ont envisagé aucune solution de secours pour limiter l'absentéisme.

Et vous, vous vous êtes organisé comment ?      

Plus d'info sur LogMeIn  

Huis clos du net, une belle opé RP

ça y est, ils l’ont fait, ils ont testé la chose et en sont revenus !

Enfermez 5 journalistes radio au fin fond d’une lointaine campagne et demandez leur d’alimenter leurs chroniques en ne se basant que sur Facebook et Twitter. 

Cette opération est avant tout, une belle opération de RP ! 

Parce que oui, il fallait la mener cette petite expérimentation, histoire de dire que cela a été tenté. Et forcément les premiers à le faire s’assuraient d’une bonne visibilité (e)médiatique. 

C’est chose faite ! L’aventure a été relayée en TV, radio, presse et bien évidemment très largement sur le web.

Mais franchement, s’attendait-on réellement à découvrir que les médias sociaux pouvaient se substituer totalement aux médias «traditionnels» en matière d’information ? Et que les internautes étaient les nouveaux journalistes ?

Non, l’info récupérée via ces nouveaux médias n’est pas exhaustive et mérite d’être vérifiée. Elle nécessite d’être recoupée, analysée, vérifiée. Twitter et Facebook jouent le rôle de vecteurs.

Pourquoi vouloir opposer les médias «traditionnels» aux médias sociaux ?

Les internautes s’exprimant sur les médias sociaux, à l’exception de quelques uns, n’ont pas pour vocation à se substituer aux journalistes. Pour les adeptes du tweet, blog ou autre réseau social, il s’agit avant tout d’exprimer un avis, partager des passions, des idées... Internet fait l’effet d’une caisse de résonance et vos coups de gueule / coeur seront bien plus audibles qu’au comptoir du troquet du quartier.

En ça il est important de savoir ce qui se dit de vous / votre entreprise / vos produits sur Internet afin de pouvoir engager la conversation avec votre «e-public». Mais, encore une fois à quelques exceptions près, les médias sociaux n’ont pas la prétention de remplacer les médias «tradi». Ils donnent un aperçu de ce qu’il se passe, mais pas l’analyse qu’un journaliste digne de ce nom doit apporter à son lectorat.

Pour les médias, Twitter, Facebook & co sont des outils promotionnels de l’information. Ils peuvent également servir à prendre la «température» de la «e-société», donc, par extension, de la société. Ils doivent être intégrés dans le quotidien professionnel des journalistes pour ces raisons, à l’instar de ce nouveau programme diffusé le 12 février sur TF1, «Link, la vie en face». Magazine qui se nourira de «problématiques de vie exposées sur Facebook».

Une performance d’acteur au service du client

Le 16 novembre dernier, nous lancions LOCSTER, un nouveau système de géosécurisation des biens mobiles.

Le slogan de cette balise est prometteur : Prévient quand ça bouge. Dit où ça se retrouve.

 

On lance la cavalerie, sujet bankable à 200% oblige : petit déjeuner presse de lancement officiel, synchronisé au niveau commercial sur la France, campagne emailing marketing, prêts produit...

Belle opération pour notre client SECURILOC, cette société qui se lance tout juste : 22 journalistes présents. Et déjà 2 TV à notre actif !

 

Après un passage sur TF1 dans Auto Moto le dimanche (avant ou après la messe, je ne sais plus), c’est au tour de France 2 de s’intéresser à cette petite bestiole qui se cache partout.

 

Pour l’émission C’est au programme animée par Sophie Davant, nous descendons avec le client à Lyon, pour un tournage d’une courte fiction et quelques minutes de pur plaisir télévisuel.

 

Apprécions ensemble le jeu d’acteur, les qualités scéniques, la répartie, le ton, la prestance, les mimiques… Tout y est. Au service de LOCSTER.

 

Par ici pour une réelle extase cinémato-télévisuelle, avec des moyens dignes de la belle époque des studios Hollywood, une batterie d’effets spéciaux de la trempe de Star Wars : la vidéo du moment.

 

Si les questions relatives au maintien des seins grâce au développé incliné ne vous intéressent pas plus que ça, rendez-vous directement à la 52^ème seconde où Sophie passe la parole à la chroniqueuse Aurélia Bloch pour son sujet sur le cambriolage et le vol de voiture.

 

Bon, et si le cambriolage, vous n’êtes pas fan, allez vite à 3’25", et là on rentre dans le cœur de la choucroute.

 

Juste pour être clair, et sans me la jouer non plus : c’est du haut niveau, mais précisons que j’ai suivi des cours de théâtre très poussés (Actor’s Studio, Cours Florent en première année…). Je ne vous cache pas qu’après ce simple second rôle, Eric Besson (non, pardon, c’est Luc, très d’actualité lui aussi en ce moment) m’a contacté dans la foulée pour me parler d’un "projet". Malheureusement, je n’ai pu donner une suite favorable, Spielberg m’ayant appelé sur mon portable quelques minutes avant, après une nuit de cauchemar lié à un film d’horreur à petit budget.

 

On ne peut pas être partout non plus…

L'agence Clipping-traitdunion nomme Xavier Leboulanger Directeur Conseil "e-réputation"

Très actif sur la « blogosphère & la twittosphère » depuis plusieurs années, Xavier Leboulanger, 35 ans, rejoint l’agence Clipping-traitdunion en qualité de Directeur Conseil en charge des stratégies de communication à destination des e-influenceurs.

 

Il a pour mission le développement de campagnes visant à gérer et promouvoir la réputation et l’image des entreprises, de leurs marques et de leurs produits, auprès des influenceurs de la sphère digitale. Pour cela, Xavier et son équipe identifient et décryptent au quotidien les tendances sociétales rentrant dans le champ de communication des clients de l’agence à travers une veille stratégique de l’opinion.

 

Xavier a débuté sa carrière au service de presse de la Présidence de la République, suivi du secrétariat d’état au tourisme. Il a ensuite rejoint plusieurs agences de relations médias pour lesquelles il a géré des comptes tels que Tiscali, Alice, AFA, Virgin Mobile Altec Lansing et Numéricable. Plus récemment Xavier était responsable de la communication du Groupe Altitude. 

 

« Dans un contexte médiatique en pleine mutation, il est impossible d’ignorer ces nouveaux influenceurs du Web. L’arrivée de Xavier Leboulanger parmi nous témoigne de la maturation d’un service qui apporte une réponse pertinente aux organisations de plus en plus concernées par leur e-réputation », déclare Jean-Louis Aubert, Co-fondateur et Directeur Associé de Clipping-traitdunion.

En avoir ou pas ?

Blogging, microblogging, réseaux sociaux…

Oui, mais…

Oui,

Parce que vous vous devez d’être là où sont vos clients, partenaires, vos relais d’opinions, car s’ils parlent de vous, il faut que vous l’entendiez, échangiez avec eux et surtout complétiez, corrigiez l’information transmise, voire désamorciez en cas de crise. Qui mieux que vous peut porter la bonne parole, ou tout du moins, apporter des éléments de réflexion liés à votre entreprise, vos produits, votre actualité, votre univers ???

Mais,

Pas n’importe comment ! Ce n’est pas parce que tout le monde en parle qu’il faut tout faire, comme les petits camarades. Il n’est pas utile de se jeter sur tous les outils car tous ne sont pas pertinents dans le cadre de votre stratégie de communication. Tout dépend de ce que vous avez à dire, à quel sujet, à qui, avec quelle tonalité…

Je surfe donc je suis…

Oui mais sans dec’, ça sert à quoi concrètement d’y être ? Avoir un blog ? Un Twitter ? Un Facebook ? Faire un lipdub ?... Houlala mais ça en fait des questions !

1-    Pouvoir dire dans les soirées de la profession « Ouais, nous on en a ! » bon en fait, ça, ça vient en dernière position pour montrer que vous avez bien retenu les points qui suivent

2-    Truster les premiers de Google ! A vous les premières pages de Google lorsque les internautes lanceront des requêtes liées à votre univers (marché, entreprise, produits…). Au-delà de véhiculer des messages, ces nouveaux outils permettent d’optimiser votre référencement naturel sur le web

3-    Diffuser vos actualités sans vous limiter à vos traditionnels communiqués de presse

4-    Créer un lien avec votre public, grâce à l’interactivité qu’autorisent les différents outils

5-    Partager votre vision, votre expertise et passer donc pour… L’EXPERT du quartier (et plus si affinités)

6-    Gérer votre web-réputation / e-réputation / online réputation / réputation en ligne… (on a essayé de mettre tous les mots qui vont bien pour dire à Google qu’à l’agence on soigne aussi la eRéputation !)

7-    Assurer dans les soirées de la profession en déclarant « YES WE HAVE ! »

8-    Oublier le Lipdub, pour le coup, vous risquez de passer pour un has been parce que vous aurez plus de 2 ans de retard. Sauf si c’est réalisé par Spielberg…

Alors, oui mais j’opte pour quoi ?

Du blog à Facebook, en passant par Twitter & co… chacun de ces outils s’intègre différemment dans votre strat’ de com’. Avec un blog, vous allez partager votre vision en générant du contenu « quali », ou décalé. Avec Twitter et Facebook, vous êtes plutôt dans un mode relationnel qui vous permet d’animer habilement vos communautés, de les fédérer et de les stimuler.

Si vous n’êtes pas encore prêt à « balancer » vos tweets sur la toile, la première étape consiste à faire de la veille et éventuellement de mandater des porte-parole en interne (ou externe). Ecoutez ce qui se dit sur vous sur le web et commencez à intervenir, officiellement, dans les commentaires des blogs, sites d’actualité, forums...

Mais attention ! Ce qui est écrit devient officiel. Mesurez bien vos propos et tournez 7 fois le clavier entre vos mains avant de commenter sur Internet.

Bon d’accord, mais qui s’en occupe à la maison ? Et qui parle ?

On ne va pas vous mentir : travailler sa e-réputation, cela prend du temps et suppose des techniques nouvelles. On ne s’adresse pas à son e-public comme on échange avec ses clients, les médias… Dans le cas contraire, attention au bad buzz !

Idéalement, impliquez vos collaborateurs : de la direction au chef de produit, en passant par le marketing, le service client et les ressources humaines. Faites transpirer l’âme de votre entreprise via l’usage de ces nouveaux outils.

Evitez les discours trop « formatés ». Vous n’êtes pas sur une plaquette commerciale, ni sur votre site corporate. Humanisez vos contributions !

Il y a encore beaucoup, beaucoup, beaucoup… de choses à écrire, mais on ne va pas se cacher derrière ce blog !  Le web c’est bien, mais on peut s’en parler de vive voix…

Un nouveau journalisme est né !

Les événements tragiques qui se sont déroulés ces derniers jours me font beaucoup réfléchir sur la façon dont sont désormais traitées les informations dans l’ensemble des médias aujourd’hui. L’exemple le plus criant est celui de la catastrophe du Rio/Paris dont on peut lire, entendre ou voir tout et son contraire. Comme si il était honteux d’avouer que l’on ne sait rien encore de la vérité des faits. Ce n’est pas parce que nous disposons aujourd’hui de tous les moyens techniques pour répandre l’information comme une traînée de poudre à l’échelle de la planète qu’il faut occuper à tout prix (et malheureusement au détriment de la vérité) ce vaste espace d’expression.  Ce fait tragique révèle finalement que, à l’heure de la traçabilité à outrance, 260 personnes dans un avion gros porteur se sont retrouvés seuls au monde à 10 000 mètres au-dessus de l’Océan Atlantique. Cela, toute cette confusion d’information nous le confirme mais sans l’avouer franchement comme si c’était inconcevable de nos jours.

Mieux, quelle ne fut pas ma stupéfaction en écoutant hier soir au JT d’une chaîne nationale le journaliste spécialiste des catastrophes aériennes nous informer que tout ce que nous pouvons lire, entendre ou voir ça et là dans les médias ne sont que des hypothèses non fondées et surtout loin d’être avérées. Voici donc née une nouvelle discipline journalistique qui nous informe que les informations ne sont pas des informations ! Affligeant, non ?

My name is : porcine... mexicaine... A... (rayez la mention inutile)

Choisir un nom peut s’avérer complexe.

 

Pour un enfant à venir, il s’agit de contenter les deux parents, de penser à l’avenir de l’enfant et surtout de ne pas écouter les sarcasmes de l’entourage : «ha Fernande, ça me rappelle une chanson...».

Pour une marque/un produit, une entreprise, qui, si elle veut s’exporter à l’international, devra faire attention au sens des noms choisis et ce qu’ils peuvent signifier sur les différents territoires de présence de la marque. On peut par exemple se poser la question du choix de nom de deux véhicules lancés ces dernières années au niveau mondial, et notamment en France : la Ford Focus et l’Alfa Roméo MiTo.

Ces deux noms laissent songeur, voire peuvent prêter à sourire. Notamment le second, émanant d’une marque italienne, qui résonne avec la caricature de l’Homo-Italianus.

Qui veut passer pour un faux-cul et un mytho ? Et pourtant, les noms ont été conservés.

3 pandémies en 10 jours...

Mais dès lors qu’il s’agit de «nommer» en contexte de crise, cela peut devenir un véritable cauchemar et générer de la confusion totale - autrement dit : tout cela peut devenir très confusant.

A l’instar du récent virus grippal né au Mexique, autorités et médias ont d’abord parlé de grippe porcine pendant plusieurs jours, à de nombreuses reprises, générant un état de rejet de ce pauvre cochon qui n’avait rien demandé à personne. Face à un risque de boycott des dérivés alimentaires de la bête - on nous a toujours dit que tout était bon dans le cochon -  le virus a été rebaptisé «grippe mexicaine», avant d’être rapidement renommé «grippe A», probablement pour éviter toute psychose du Mexicain et éviter les raccourcis : le Mexicain est un cochon qui porte en lui un violent virus / le Mexicain est dangereux pour la santé...

Les lobbyistes porcins et mexicains ont bien travaillé, mais pas assez vite.

Il est certain que le «A» ne fera de mal à personne, à part peut-être au Petit Robert. Mais le mal est déjà fait puisque jusqu’à présent les deux appellations les plus utilisées et forcément les plus véhiculées sont «porcine» et «mexicaine». Après une dizaine de jours à scander Mexicaine Porcine, qui va parler de «A» ?

L’urgence n’est pas toujours bonne conseillère !

Quelques conseils simples pour choisir un nom. Il faut qu’il : 

• soit réfléchi
• soit cohérent 
• soit exportable
• soit diplomate
• ne provoque pas l’hilarité (sauf si c’est votre fonds de commerce)

« blogObuzz », le nouveau service de RP 2.0 de l’agence Clipping-tu

Parce que nul ne peut ignorer la rapidité, la puissance et l’universalité du média Internet comme outil incontournable d’information et de communication, l’agence Clipping (www.clipping-tu.com) lance un nouveau service de R.P 2.0  baptisé « blogObuzz » pour booster la e-réputation de ses clients.

L’agence de relations médias Clipping propose désormais une nouvelle approche pour développer et/ou améliorer la présence et la e-réputation de ses clients sur le Web.

 

 « blogObuzz » est un service sur mesure. Il se décline en cinq modules indépendants et complémentaires :

·        Réalisation de la cartographie Internet d’une personne, d’une entreprise et ou d’une marque

·        Monitoring quotidien, hebdo, mensuel de la e-réputation

·        Augmentation de la visibilité en ligne en exploitant toutes les entrées du Web (profils, sites communautaires, wikis, blogs, …)

·        Sensibilisation des influenceurs du Web (blogs, forums de discussions…)

·        Création d’événements et de buzz en ligne.

 

« Avec ce nouveau service, Clipping fait un pied-de-nez  à la morosité conjoncturelle du secteur de la communication » déclare Jean-Louis Aubert, directeur associé et fondateur de l’agence, « nous prévoyons de générer au moins 20% de notre marge brute 2009 avec « blogObuzz ».